L’art Thérapie

 

Je m’appelle Laetitia Longuet et je suis praticienne en art-thérapie, PNL, méditation, préparation mentale, DU autisme, TCC, sport thérapie, psychopraticienne, thérapie par le mouvement (kinésiologie) . Si j’ai choisi d’élargir mon métier d’éducatrice sportive c’est parce qu’il allie de nombreuses connaissances pour pouvoir en ressentir les bienfaits dans la totalité, la compréhension de soi, le mouvement. Un métier riche avec de nombreuses possibilités d’application.

 

Comment j’ai découvert l’art-thérapie ?

J’ai découvert l’art-thérapie lors de mes recherches pour me sortir de plusieurs périodes très difficiles dans ma vie. J’ai testé de nombreux exercices sur moi et j’ai pu en expérimenter les changements positifs et les bienfaits que ces pratiques avaient sur ma santé, aussi bien au niveau physique qu’au niveau mental. Depuis je continue de pratiquer cette discipline dans mon quotidien.

Comment j’en suis arrivée à développer le sport thérapie ?

J’ai toujours été passionnée de sport, ce dernier m’a accompagnée lors de mes périodes difficiles tant sur la maladie, la gestion de la douleur, la gestion des émotions et j’en passe…j’ai découvert après des années de thérapie que le cumul de ces dernières étaient complémentaires et que savoir, comprendre et les utiliser ensemble avait un meilleur intérêt mais aussi des bienfaits décuplés.

Praticienne en art-thérapie, développement du sport thérapie,

« la créativité c’est l’intelligence qui s’amuse »
Albert Einstein

Au niveau de ma formation professionnelle, je suis titulaire d’un baccalauréat ES, d’une licence de sociologie (spécialisée dans le comportement des individus) et également d’une formation de praticienne en art-thérapie, Psychanalyste, PNL, méditation, kinésiologie (therapie manuelle pour comprendre le biomécanique du corps) certifiée par l’I.P.H.M (the International Practitioners of Holistic Medicine notamment). J’ai également un DU autisme avec l’université, et obtenu deux certifications avec le Canada. J’ai obtenu ma certification de préparation mentale avec l’école LNF, et valider mon cursus de psychopraticienne et TCC avec l’EFPP qui est parrainé par Mr Boris Cyrulnik et partenaire de SNSPPY.
Cela Fait six ans, que je travaille au sein de l’association Leti Sports académie que j’ai crée, ce qui m’a donnée envie de comprendre et de pousser plus loin la compréhension entre le corps, l’esprit et l’âme, d’où mon parcours.

Au cours de mes recherches pour savoir à quelle profession j’aimerais me former, j’ai découvert que je pouvais lier toutes mes passions entre elles, et qu’en plus ces associations avaient une multitude de bienfaits. J’ai alors su que c’était exactement le métier que je voulais faire. J’ai pris le temps de comprendre et de me former afin de me lancer dans cette aventure.
A présent j’ai la chance de faire un métier qui me passionne et dans lequel je m’épanouis, tout en aidant les personnes autour de moi et en partageant mes connaissances.

Ma formation d’animatrice (BAFA) m’a appris à animer des activités, à élaborer et gérer des projets, de la création jusqu’à la réalisation, ainsi que le travail en équipe et l’importance d’un bon relationnel. Mes autres expériences professionnelles m’ont appris à m’adapter et à développer mon sens des responsabilités.

J’ai une très grande qualité d’écoute, je suis patiente et créative. Travailler avec moi c’est vous offrir à vous, à vos collègues, à vos employés, à vos élèves, un peu de temps pour vous sentir encore mieux, plus productifs, plus confiants et plus sereins dans un lieu convivial.

L’ouverture du cabinet : permettre aux personnes que je rencontre de prendre conscience de toutes leurs qualités, leurs forces et de les aider à se libérer de culpabilités , de comportements au détriment de leur bien-être.

Un seul mot d’ordre : je donne un simple coup de pouce à la personne qui est l’artisan déterminé de son changement.

La thérapie au cabinet ne se substitue en aucun cas aux médecines traditionnelles et aux traitements médicaux prescrits. Elle est en complément des suivis médicaux afin d’apporter un mieux-être.

Le public ?

Adultes, enfants et adolescents ( concentration, troubles du comportement, troubles alimentaires, phobies, anxiété, gestion du stress, des émotions, manque de confiance en soi, problème de poids, gestion de la douleur, dépression…)

Tarifs

Tarif non conventionnés

Tarif adhérent association : 55€

Tarif non adhérents association : 70€

Les règlements peuvent se faire en chèque et ou en espèce

Durée d’une séance : 45 min à 1 h

« chaque personne est unique, tout comme le moment par conséquent la séance se veut sur mesure »

Les méthodes

 

Le cabinet vise à l’épanouissement et à la sérénité :

Les méthodes :

-PNL : Le praticien PNL va aider la personne à mobiliser ses ressources pour atteindre ses objectifs. Par là même, il l’accompagne dans la compréhension de ses motivations et de ses comportements.

-Préparation mentale

– Art thérapie : L’art-thérapie consiste à travailler, de manière ludique, par le biais de médias artistiques comme le dessin, la peinture, la danse ou la musique ( et bien d’autres encore), sur des problématiques ou des thèmes particuliers.

L’art-thérapie a de nombreux bienfaits. Elle permet d’apprendre à lâcher prise, à se relaxer grâce à de courtes méditations, de prendre du temps pour soi, d’appréhender ses émotions… Elle peut aussi aider à passer certaines périodes de transitions et permettre également d’atteindre des objectifs.
L’avantage de cette pratique est qu’elle passe, en grande partie par le corps, grâce au mouvement lors des créations artistiques et beaucoup moins par le mental. Vous êtes donc acteur de votre propre guérison. Nous allons travailler sur des problématiques ou des thèmes conscients ou inconscients, pour vous aider à avancer, avec bienveillance, sur le chemin du mieux-être.

« prendre du temps pour soi pour une vie équilibrée »

Cette phrase est très importante dans mon approche car elle représente une valeur fondamentale : il faut prendre soin de soi et cela passe par s’octroyer du temps pour soi. Il est vrai que ce n’est pas toujours facile mais si vous y prêtez un peu attention vous verrez que votre corps vous réclame ce temps là, ce temps de calme, de pause et d’espace pour vous ressourcer. On ne peut pas prendre soin des autres sans s’épuiser tant qu’on ne prend pas soin de soi-même. J’aime beaucoup la métaphore de la carafe d’eau pour représenter cette idée : « Comment veux-tu servir à boire si ta carafe est vide ? »

Prendre du temps pour ça permet d’être plus disponible ensuite pour les autres.

 

Sport thérapie : cela consiste à travailler de manière ludique à travers un champs disciplinaire varié dans le domaine sportif.

TCC : Les thérapies comportementales et cognitives (TCC) sont un éventail de différentes approches thérapeutiques qui combinent l’exposition, la mise à distance des pensées par des techniques de relaxation ou de pleine conscience, le travail sur les obsessions, l’affirmation de soi, etc. “Elles sont basées sur la psychoéducation, explique le Dr Dominique Servant, médecin psychiatre, responsable de l’unité Stress et anxiété au CHU de Lille. On délivre à la personne un certain nombre d’informations sur son problème et sur la thérapie ; des informations qui lui seront utiles pour comprendre, adhérer au projet et réaliser par lui-même des exercices en dehors des séances”

Les TCC ont été conçues pour traiter l’anxiété et les phobies. “Elles sont particulièrement efficaces sur les symptômes anxieux, les phobies ainsi que les TOC mais aussi sur les problèmes de sommeil ou les troubles alimentaires, liste le Dr Dominique Servant. Elles permettent d’améliorer la qualité de vie à court (dix à douze semaines) et à moyen terme (trois à six mois)”.

Une TCC débute en général par une évaluation complète des symptômes et des circonstances de déclenchement ainsi que par l’évocation du contexte et des facteurs individuels et interpersonnels” précise le Dr Servant. A partir de cette première analyse, le thérapeute et le patient définissent un certain nombre d’objectifs. Des exercices sont ensuite proposés au patient au cours et en dehors des séances. Par exemple : apprendre à une personne souffrant de TOC à réduire ses rituels en l’aidant à prendre de la distance par rapport à ses obsessions.

Les thérapies comportementales et cognitives ont un impact réel sur le mieux-être et la qualité de vie du patient. “L’efficacité des TCC a été prouvée par des études contrôlées. On obtient de très bons résultats dans le traitement des phobies, des TOC et de l’anxiété. Mais pour qu’une TCC marche, il faut pratiquer les exercices dans la vie quotidienne. C’est une thérapie active !” rappelle le Dr Dominique Servant.

TRV : L’expression «réalité virtuelle» (multimédia immersif ou réalité simulée par ordinateur) renvoie typiquement à une technologie informatique qui simule la présence physique d’un utilisateur dans un environnement artificiellement généré par des logiciels, environnement avec lequel l’utilisateur peut interagir. La réalité virtuelle reproduit donc artificiellement une expérience sensorielle. La réalité virtuelle (RV) est une application permettant à un utilisateur de naviguer et d’interagir en temps réel avec un environnement en trois dimensions généré par ordinateur (Pratt, Zyda, & Kelleher, 1995). La finalité de la réalité virtuelle est de permettre à une personne (ou à plusieurs) de vivre une expérience d’immersion ou pas, c’est-à-dire de mener une activité sensori-motrice et cognitive dans un monde créé numériquement, qui peut être «imaginaire, symbolique ou une simulation de certains aspects du monde réel» (extrait du Traité de la réalité virtuelle, P. Fuchs).

 

RÉALITÉ VIRTUELLE ET THÉRAPIES

La réalité virtuelle n’était au départ pas destinée à être utilisée à des fins thérapeutiques. Le casque HMD permettant la vue en 3D d’une scène a été créé en 1968. Auparavant, le casque a surtout été utilisé à des fins artistiques. Ce n’est que dans les années 1980 que l’équipement a commencé à être utilisé par la NASA en tant qu’outil d’entraînement et par les militaires pour simuler respectivement la conduite de navettes, de tanks et d’hélicoptères. Dès lors, et surtout à partir du début des années 1990, le champ des applications possibles s’est progressivement élargi vers le médical. Les premières recherches ont eu lieu aux États-Unis et en Italie. Elles portaient sur les phobies « spécifiques «  : peur de l’avion (aviophobie), peur des hauteurs (acrophobie), peur de la conduite (amaxophobie)… Jusque-là, on confrontait les patients à un élément réel : une araignée velue, un avion sur le tarmac… Mais voler en avion coûte cher, élever des araignées est compliqué… Les thérapies virtuelles permettent donc de reproduire virtuellement ces situations anxiogènes.

 

LA RÉALITÉ VIRTUELLE (RV) ET LA RELAXATION

La Réalité Virtuelle offre un large champ des possibles en terme d’expositions relaxantes au milieu d’environnements naturels en 3D. La VR peut nous faire plonger en un rien de temps dans des endroits propices à la détente, comme par exemple en haut d’une montagne verdoyante, contempler la mer, admirer l’eau le long d’une cascade ou être en plein milieu d’une forêt reposante… Des milieux virtuels immersifs qui aident à accéder à la sérénité afin de pouvoir faire face au stress au quotidien, à une montée d’anxiété ou apaiser un état dépressif.

 

THÉRAPIE VIRTUELLE ET NEUROSCIENCES

La découverte des bases neurales de la stimulation, grâce à des techniques d’imagerie cérébrale, a montré que l’être humain activait les mêmes zones du cerveau (aires motrices) lorsqu’il exécute réellement une action et lorsqu’il la stimule mentalement. Cela signifierait donc que l’exposition en réalité virtuelle reviendrait pour le cerveau à une exposition in vivo. Par exemple, dans le cas des ptophobies (peur de tomber), le thérapeute va accompagner ses patients dans une marche immersive en 3D. Ainsi, non seulement les patients s’habituent à avoir une perception plus sécurisante de leur marche dans l’environnement virtuel, mais cette simulation mentale pourrait aussi avoir un impact sur la perception de leur marche dans le monde réel. Ceci permettrait de reprendre confiance en des capacités à « faire face » avant de s’engager dans une confrontation avec l’objet de leur peur dans le monde réel. D’autres procédures innovantes sont utilisées, par exemple avec des exercices interactifs multimédias, via un grand écran et une caméra détectant les mouvements des sujets.

 

LA THÉRAPIE VIRTUELLE (TRV), POUR QUELS TROUBLES ?

Anxiété
Phobies
Troubles alimentaires
Addictions
Traumatismes

THÉRAPIE PAR EXPOSITION À LA RÉALITÉ VIRTUELLE (TERV) : DÉFINITION ET OBJECTIFS

Les Thérapies par Réalité Virtuelle (TRV) complètent les thérapies, en particulier les Thérapies Comportementales et Cognitives (TCC), par une immersion virtuelle du patient dans ses situations anxiogènes, au lieu de l’immersion en imaginaire. L’avantage des TRV est la qualité de l’exposition, le patient et son cerveau se croyant vraiment exposés à la situation. Les exercices thérapeutiques sont plus efficaces. Outre les « techniques d’exposition », l’avantage est dans le fait que le psychologue peut accompagner son patient dans les exercices et le rassurer, l’encourager, l’aider.

L’objectif des Thérapies par Réalité Virtuelle (TRV) est d’immerger le patient dans des environnements virtuels afin qu’il puisse graduellement réapprendre à se confronter à ses phobies et retrouver autonomie et liberté. En s’habituant à la confrontation avec l’objet de ses peurs, le phobique se désensibilise.

La Thérapie en Réalité Virtuelle est actuellement appliquée dans le traitement des phobies, de l’anxiété, de la dépression, des troubles post-traumatiques, de la schizophrénie, de l’addiction à l’alcool et à certaines drogues dures, du jeu pathologique, des troubles alimentaires et troubles de l’image corporelle ainsi qu’en neuropsychologie.

 

LA CYBERTHÉRAPIE PERMET…

Une immersion visuelle en 3D, c’est-à-dire la perception visuelle avec la profondeur de l’environnement virtuel grâce au port de lunettes 3D. Grâce à un tel système visuel, l’utilisateur à l’illusion de s’immerger dans un environnement comme s’il en faisait partie et peut se sentir présent dans un « vrai » espace 3D, cette immersion offre une richesse d’informations visuelles à l’utilisateur bien plus importante que la simple visualisation en imaginaire généralement utilisée en thérapie.

Une interaction intuitive avec l’environnement, c’est-à-dire que cette interaction se fait grâce à un système de capture de mouvement (dit système de tracking) composé de caméras infrarouges, qui mesurent les mouvements de marqueurs lui permettant d’interagir dans l’environnement virtuel (appuyer sur le bouton d’un ascenseur, baisser la poignée d’une porte…).

DÉROULEMENT D’UNE SÉANCE

Le patient phobique est équipé d’un casque (visiocasque) permettant la vision en 3D, d’une scène pouvant provoquer un trouble (regarder le vide, conduire en voiture, prendre un ascenseur, parler devant un public, prendre le métro…). L’ensemble de son champ de vision est plongé dans un monde virtuel qui n’a plus aucun lien avec le réel. Il devient acteur d’un autre monde en trois dimensions, qui change naturellement en fonction des mouvements de la tête et du corps. Le patient se sent rassuré par le fait qu’il ne risque rien durant la séance, puisqu’il ne s’expose qu’à des dangers virtuels, et le psychologue est à ses côtés. De plus, la thérapie s’effectue de façon progressive, chaque programme de Thérapie en Réalité Virtuelle (TRV) étant évolutif. « L’immersion progressive permise par la réalité virtuelle est moins violente que si on expose le patient à une vraie araignée ou à un vrai vol d’avion », explique le Pr Stéphane Bouchard.

La Thérapie en Réalité virtuelle (TRV) n’est pas immédiate dans la mis en place du traitement, elle est progressive et s’effectue après quelques séances où le patient explique son trouble et les conséquences dans sa vie quotidienne, évalue son degré d’anxiété, effectue la hiérarchisation des situations et travaille ses pensées par de la restructuration cognitive. Les séances en Réalité Virtuelle sont préparées en amont et encadrées lors de chaque séance par le psychologue. Des séances de relaxation sont également disponibles en Thérapie Virtuelle en complément des situations phobiques travaillées. Les techniques de relaxation et de respiration sont utiles pour apprendre à gérer sa réaction face à ses peurs.

Les séances en Thérapie par Réalité Virtuelle (TRV) sont progressives en fonction de l’évolution thérapeutique du patient. Par exemple, pour un phobique de l’avion, les possibilités d’exposition sont multiples. D’abord se familiariser avec un aéroport, puis entrer dans un avion, effectuer un décollage, faire face à des turbulences, se confronter à un atterrissage… Si la personne a besoin de rentrer et sortir de l’avion au décollage ou pendant le vol, c’est possible. De même, pour quelqu’un qui a la phobie du sang (bélénophobie), ou des araignées (arachnophobie), il sera immergé dans un environnement où il sera mis en contact, étape par étape, graduellement, avec sa peur.

(Attention disponibilité en 2023/2024)

Thérapie manuelle : a pour mission d’optimiser la performance motrice et les déterminants de la condition physique d’une personne, qu’elle ait ou non une condition particulière, par le biais de l’activité physique. Le but recherché est l’autodétermination des clients à adopter un mode de vie physiquement actif sur une base régulière.

Développement personnel

Praticienne en psychologie

 

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